jeudi 20 novembre 2008

procrastination

ok, so I'm late for the inscriptions and I'm still not working on gathering all the needed papers. It seems all I do is going out, having lots of fun, and not counting the hours I spent on my internship. Which is a bit stupid since I already know, they are not going to keep me. Yet it seems I am afflicted with a strange need to "do the job" and do it to the best of my abilities even if I am not going to get paid more or get any advantages or even thank yous.
Peut-etre que je devrais fonder ma propre entreprise en fait. Comme ça, en étant ma propre patronne je pourrais faire mon travail bien et m'octroyer des congés et des bonus quand j'aurai bien bossé. :)
Le seul problème avec cette option, c'est qu'il faut avoir une Idée, et puis il faut parler avec des gens. Il faut discuter, négocier,convaincre et persuader des investisseurs, et meme des clients.
Le client objectivement, je sais que ça existe. Je suis moi meme cliente de bien des produits.
Mais le "client" en général, c'est une espèce bizarre, régis par des lois complexe, parlant un langage bien particulier et que j'ai assez peur, il faut l'avouer, d'approcher.
Pour approcher un client, il faudrait que je me mette en situation de parler à une personne que je ne connais pas. (A part pour demander une danse, et encore ça me demande un certain temps, c'est quequelchose qui m'est assez difficile). Non seulement il faudrait que j'approche le "client", mais il faudrait que je lui fasse de la publicité. Intellectuellement, je comprend bien l'utilité d'informer le client de l'existence d'un produit si je compte le lui vendre mais mettre en pratique ce concept... Et le pire, c'est qu'après il faudrait même que j'essaie de lui faire acheter mon produit !!! Vu le stress engendré par une prise de parole devant ma classe (récemment 10 personnes que je connaissais extremement bien), je crois que c'est mal barré pour le porte à porte.
Surtout que je déteste embeter les gens, j'ai tendance à penser que si jusqu'à maintenant on a très bien vécu sans un produit, on peut encore s'en passer longtemps. Et par conséquent, le client viendra de lui-même lorsqu'il en ressentira le besoin. Je sais qu'il existe un concept se nommant "creer le besoin", mais ce sont des mots étrangers à mon univers. Et je souhaite fortement qu'ils le demeurent puisque rien que d'y penser me donne des sueurs froides.

lundi 17 novembre 2008

questionnement

on fait comment pour faire tout ce qu'on doit, le reste aussi, et avoir un peu de temps pour dormir???
Autre grand questionnement: Master oui ou non? (bon daccord la réponse n'est pas sorcière c'est plutot trouver le temps de m'en occuper)
C'est pas gagné d'avance mais une chose est sure, je ne m'ennuie pas. Je crois que j'arrive à voir aussi peu ma famille que lorsque j'étais en prépas, mais bizarrement il n'y plus de surcharge de travail...Il semble que la vie de stagiaire soit encore plus remplie que celle d'étudiante.

dimanche 19 octobre 2008

automne

Une grande balade, un feu de cheminé, un thé et des chataignes grillées. C'est tout le plaisir de l'automne qui tient en une ligne :) ou en une journée.
Si on rajoute les noix, le vin, le jambon cru et les champignons c'est carrèment le paradis. Mais bon, quand on fait déjà une superbe balade dans un cadre magnifique, pas loin de paris mais avec un ciel bleu, des canards dans l'étang, des feuilles multicolores et un ami avec qui discuter, je crois que c'est un beau week-end et bien la preuve que la vie nous sourit.
Samedi aussi, j'ai eu une belle journée, avec roller dans paris et patisserie libanaise (je craque, la pistache avec du miel c'est vraiment trop bon.) pour l'après midi. Et pour le soir, diner avec un ami qui nous vient du brésil.
Et moi qui n'avait rien prévu pour ce week-end, et qui pensait rester chez moi à faire des ourlets. C'est drole comme quelquefois tout semble s'animer, se mettre en oeuvre pour offrir de purs moments de bonheur. Je me baladerais une semaine encore avec des pantalons trop long mais j'aurai de belles images plein la tête. :-)

lundi 29 septembre 2008

sensation bizarre

Pour la première fois hier soir, j'ai vue ma mère proche de la panique. Elle, toujours si calme dans les situations de crises, a commencé à échafauder des scénarios catastrophes. D'habitude, si crise il y a, c'est toujours moi qui panique, qui me fait des films et qui imagine les scénarios les plus extrêmes. Si ça touche ma famille, je me laisse emporter encore plus facilement. Dans ces cas là, c'est en général ma mère qui me rassure, qui me dit de ne pas paniquer et qui trouve des solutions pratiques et pleine de bon sens.
Mais hier soir, en voyant grand-mère dans un tel état, maman s'est mis à son tour à ce faire des films et à imaginer des catastrophes. Comme si elle ne voyait plus la réalité mais seulement ce qu'elle imaginait être la réalité. Je me dis que lorsque je fait pareil bien souvent, ça doit être agaçant pour mon entourage. Mais le problème, c'est surtout de desenclencher la crise. Il est difficile de rassurer.
J'ai fait de mon mieux, l'amélioration manifeste de l'état de grand-mère fera le reste, en tout cas je l'espère.

mercredi 3 septembre 2008

rentrée

rentrée des classes ou de bureau.
Une grande première cette année avec cette rentrée dans une grosse boite. Une atmosphère particulière que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais même imaginée.
J'ai pourtant déjà travaillé mais seulement dans des PMEs, de toutes petites PMEs. Il y avait le boss, ses desideratas et tout le monde qui s'engueule et se serre les coudes pour faire le boulot. Tu as ton boulot, mais si le collègue a besoin d'un coup de main, tu aide aussi. Là, tout le monde a son boulot et ses réunions. Je n'ai toujours pas fait de Réunion alors je ne saurais pas dire ce qu'on y fait mais ça occupe beaucoup de monde pendant la journée. Sinon, chacun est devant son poste, je ne sais d'ailleurs pas franchement à quoi mes collègues occupent leur journées. Ils sont (enfin au moins l'un d'eux) "project manager". Dans mes PMEs, il n'y avait pas de "project", et encore moins de "project manager". Juste un chef, avec un objectif facilement compréhensible et des urgences.
Là, il y a le secret, il ne faut pas dire sur quoi tu travailles, enfin pas exactement mais un peu quand même puisque les personnes autour de toi sont quand même dans la même entreprise. Tout un exercice de discrétion et de diplomatie auquel j'ai du mal à me faire. Il faut faire attention à la sécurité, verrouiller son écran d'ordinateur, fermer son bureau, avoir son badge.
En même temps, ce ne sont que des premières impression, et après 2 jours, je ne peux vraiment décrire une entreprise.
Juste une constatation: je voulais travailler dans une grande structure car je pensais qu'ils seraient mieux organisés que dans une petite (dans toute celle ou je suis allée c'était loin d'être une organisation très carré). Je pense que je me suis trompée. Les grandes structures semblent créer des possibilités de désorganisation encore plus vastes que les petites.

vendredi 18 juillet 2008

un pas

je m'approche de plus en plus de la date fatidique. J'ai fini les cours, je vais commencer le stage et bientôt, très-voir trop- bientôt, je ne serais plus étudiante. Je serais un membre autonome du monde des adultes, un contribuable qui paye ses impôts, fait ses déclarations et envoie ses papiers. Parce que tout le reste des trucs bien pour adultes, je le fais déjà. :p
Le problème c'est que je n'ai pas très envie de devenir "une grande", ou alors pas tout de suite.
La vie active c'est sympas mais ça manque de temps. C'est l'inverse quand c'est étudiant, le temps on l'a mais pas l'argent. Je voudrais les deux.

Je voudrais voyager, faire les steppes de Mongolie à cheval, découvrir l'Inde et la Chine, retourner au Mexique et partir vivre à l'étranger. Je reviens tout juste, mais la n'est pas le problème. Le problème c'est que la Mongolie ça prend 1 mois, l'Inde pareil, la Chine aussi, le Mexique itou. Ca fait beaucoup de temps, pour l'expat, on en parle même pas (mais là au moins, si je me débrouille je pourrais travailler).

Et ce n'est pas la fin de mes ambitions. je veux aussi avoir une vie familiale, et une vie professionelle épanouissante et un cheval. Ca fait beaucoup pour une seule femme. Et puis pour corser encore la balance, je voudrais une chambre seulement à moi avec des rangements et même une étagère pas encore pleine. On est fin juillet et la liste pour le père noel est déjà d'une longueur impressionante ;).

jeudi 17 juillet 2008

fin de l'aventure mexicaine

Voila, rentrée en France depuis un mois, l'aventure est terminée. Après un an passé dans un pays fabuleux, je me réhabitue petit à petit à la France et à mon chez-moi. De nouvelles obligations sont arrivés, je ne suis plus dans la bulle expat, c'est le retour à la réalité. Je me sens tout à coup alourdie par la réalité, par le regard de mes proches, par les attentes de la société. C'est aussi pour ça que j'aime l'expat, lorsqu'on découvre un autre pays, on est étranger. En tant qu'étranger, nous ne sommes donc pas jugés sur les mêmes critères, nous sommes plus libres et puis il y a l'aventure.
Mais le retour c'est aussi revoir sa famille, ses parents, ses amis... Après un an, j'en avais besoin.
L'étudiante ne va plus s'essayer à la vie mexicaine, elle a un nouveau défi à relever: la fin de sa scolarité et l'entrée dans la vie active. Si la vie est un éléphant, alors c'est le prochain bout d'éléphant à avaler.

lundi 5 mai 2008

j'ai appris

j'ai appris que l'horaire d'un déjeuner se situe entre 14h et 15h, si on a faim avant tant pis. J'ai appris que le diner c'est à 10h, et avant c'est vraiment beaucoup trop tot, sauf si on a travaillé tout l'aprèm et qu'on a la flemme de continuer.
J'ai appris qu'il y a beaucoup plus fanatique de football qu'un français: un mexicain. Parce que honnetement, même eux disent que les ligues européennes jouent mieux que les leur, mais ils continuent de regarder.
J'ai appris à manger et à vivre avec la télé.
J'ai appris que le taco c'est bon tout le temps: petit-déjeuner, déjeuner et diner. Un taco avec un remplissage different c'est un autre plat. Un taco plié differement mais avec le meme remplissage, c'est aussi un plat différent. Si vous dites au mexicains qu'ils ne mangent que des tacos, ils vous diront que ce n'est absolument pas vrai et que les français mangent aussi du pain à tous les repas. Peut-être (et encore), mais au moins pour nous, c'est pas le plat principal. :p
Ici les snobs mangent des tortillas à la farine de blé, les tortillas traditionnelles au mais sont pour le peuple, qu'on se le dise.
Vous n'êtes pas obligé d'être d'accord mais c'est mon expérience et mon blog. :p

jeudi 1 mai 2008

aux hasards de mes lectures

Homme de couleur de Leopold Sedar Senghor

Quand je suis né, j'étais noir,
Quand j'ai grandi, j'étais noir,
Quand je suis au soleil, je suis noir,
Quand je suis malade, je suis noir,
Quand je mourrai, je serai noir.

Tandis que toi, homme blanc,
Quand tu es né, tu étais rose,
Quand tu as grandi, tu étais blanc,
Quand tu vas au soleil, tu es rouge,
Quand tu as froid, tu es bleu,
Quand tu as peur, tu es vert,
Quand tu es malade, tu es jaune,
Quand tu mourras, tu seras gris.

Alors, de nous deux,
Qui est l'homme de couleur ?

Et on pourrait aussi...

On pourrait faire du coloriage avec des crayons, des pastels, des feutres.
On pourrait faire des peintures et de la pate à modeler.
On pourrait faire de la pate à sel, la faire cuire, la ponser, la peindre, la vernir.
On pourrait faire 2 cartes, 1 nom et 1 dessin. On pourrait les plastifier, les trouer et y pendre des breloques. Puis on pourrait les accrocher, sur une porte ou près d'une fenêtre pour faire du bruit et du mouvement lors d'une brise.
On pourrait faire les breloques, en pates fimo ou en pate à sel.
On pourrait faire des scoubidous, et des créations en perles.
On pourrait faire de la peinture sur verre, ou sur T-shirt.
On pourrait faire des guirlandes en papier crépons.
On pourrait faire de la couture, des portes serviettes, des trousses à maquillage ou à crayons, ou même des sacs. Des sacs pour sortir, des sacs de linges sales, de sous vêtements, de chaussettes et de chaussures.
On pourrait faire des collages, avec des magazines, des cartons et des papiers. Ou mieux, avec nos photos préférrées. On pourrait les découper dans tout les sens parce que avec le numérique de toute façon, celle sur l'ordi elle reste intact.
On pourrait faire des sculptures avec du papier-qui-colle-quand-il-est-mouillé.
On pourrait faire des mosaiques avec des bouts de coquillage enfoncés dans le sable.
On pourrait jouer à des jeux de société, même si c'est dépassé. Juste pour le plaisir de s'amuser, de sortir son cavalier avant son voisin, d'annexer un nouveau territoire ou d'attraper le voleur.
On pourrait chanter une chanson, l'enregistrer et l'échanger.
On pourrait choisir des devises, les découper et les coller sur des aimants puis sur le frigo et les pieds du lit.
On pourrait faire plein de choses en fait si on le voulait.

mardi 22 avril 2008

28 and counting

Je suis infectée. Pleine de virus, de cheval de troie, de vers, de... You name it, I got it.
Donc voila, a 20% de scan de mon systeme, j'ai déja 9 virus (et autres) detectés, et 28 fichiers infectés. Sinon je me porte bien merci. J'attends juste de faire une sauvergarde pour reformarter.

jeudi 6 mars 2008

j'ai besoin de vacances

je commence a avoir vraiment beaucoup besoin de vacances. Les vacances au TEC, c'est une semaine pendant le semestre (mieux que le semestre dernier puisqu'on avait pas de vacances) et cette semaine n'est pas encore arrivée. Elle tarde et tarde et tarde encore et j'en aurais vraiment besoin. Je sature du boulot et j'aimerais bien que arrete d'essayer de me faire tourner en bourrique. Sinon tout va bien puisque je suis toujours en vie et que la chienne chihuahua fofolle qui habite dans ma chambre a mangé les scoubidous de mon sac à dos et, avec un peu de chance, ne mangera donc pas mes chaussures.

Dailleurs elle est tres mignonne cette chienne pour ceux qui aiment les chichuahua. Elle est blanche, un peu folle, elle adore jouer, elle mord tout ce qui bouge (et mes scoubidous) et elle ne fait pas de bruit. Sinon elle adore courir, peut pas encore grimper sur mon lit toute seule (ouf), elle griffe ma couverture et mord les pieds du lit. Elle s'accroche aussi à mes pieds quand je marche donc j'ai un peu peur de l'écraser et elle veut manger mes lacets et mes baskettes violettes.
Bon comme c'est une chichuahua, pour moi, elle gagne pas le concours de beauté et elle est vraiment trop petite. Mais c'est sur elle a son charme, et quand quelqu'un vient, elle est toujours la reine de la fete.
Elle a la tete un peu grosse, et une queue qui me rapelle un autre animal, mais bon elle est mignonne quand meme.
Et voila la photo ou elle se pourlèche les babines à l'idée de manger mes lacets, il ne faut pas se fier à sa tete d'ange.

dimanche 17 février 2008

scène domestique

ce matin, levé pour aller bosser à la bibliotheque à 10H00. J'en sors à 15H00, la faim au ventre, les neurones en compotes, les cernes jusqu'au menton et c'est pas finie. Mais tant pis, je me prend une pause bien meritée en cette fin de journée pour raconter un de mes petits succès.
C'est pas quelquechose d'énorme mais je n'en suis pas peu fière. Dans la vie, il y a 2 catégories de personne: celles qui ont les mains vertes (ou du moins d'une couleur neutre) et celles qui ont les mains noirs. Mais la, c'est pas le noir d'une nuit un soir de pleine lune au milieu de Paris dont je parle. C'est le noir d'une nuit sans lune, au fin fond de la cambrousse quand en plus il y a des nuages pour que même les étoiles disparaissent. Donc voila, je suis à peu près aussi doué pour faire pousser une plante qu'un poisson pour courir un marathon.
J'ai réussi à faire mourir toutes les petites plantes que maman m'a offertes quand j'étais jeune. Après avoir réussi à assécher des petits cactus j'en ai conclu que le jardinage n'etait pas pour moi. Quelques années se sont écoulées depuis et j'ai retenté l'experience avec des bambous d'eau. Le moins qu'on puisse dire c'est que la tentative ne fut pas couronnée de succès. Mais voila, à Noel, ma petite soeur m'a offert non pas une plantes mais .... des graines. Déja que quand le pot est plein je l'oublie, mais quand en plus il faut que je remplisse le pot et que j'attende que ça fleurisse...
Je me suis dit que j'allais quand même essayer. J'ai mis de la terre dans le pot, les oignons (ou bulbes ou je ne sais pas trop comment ça s'appelle, de trèfles à 4 feuilles dedans) et j'ai arrosé. J'ai arrosé le premier jour, le deuxième aussi d'ailleurs. Après j'ai un peu oublié, mais il faisait un temps de chien, avec de la pluie et comme j'avais tout mis dehors en me disant que:
1) le bonne air ça fait grandir
2) elle va avoir besoin de soleil ma petite plante
3) ca evitera de mettre de la terre partout dans la maison (donc moins de nettoyage)
finalement la pluie c'est chargé de l'arrosage.
Au bout de 2 semaines, je l'avais plus ou moins oublié. Le soleil est revenu et la un jour, en baissant le nez sur mes souliers j'ai vu que le pot attendait toujours. Il y avait un peu moins de terre à l'interieur, un peu plus de traces noiratres au alentours, mais les bulbes etaient toujours la et bien que je ne vis pas d'amélioration nette, la situation ne semblait pas avoir empiré. C'etait toujours un pot, avec de la terre et des bulbes.
J'y ais mis un peu d'eau en étendant mon maillot de bain en revenant de la piscine, et je l'ai promptement réoublié pour les 2 semaines suivantes. La c'est à ma colloc que je dois une fière chandelle, car elle, elle a vue le petit pot et elle a mis de l'eau dedans. Quand je me suis réapercue de la présence du petit pot, il était plein de petites tiges rabougries. (je crois que le soleil, plus le fait que ma colloc aussi l'avait oublié ça n'a pas aidé). Mais la, j'ai mis en place une technique de choc. J'ai placé le pot, juste sous l'etendoir et j'ai fait intervenir la technique du maillot de bain. Technique simplissime et génial s'il en ai. Je rince mon maillot (à l'eau douce quand meme) , je l'égoutte au dessus du pot et je l'epingle sur le fil. Comme ça je fais d'une pierre deux coups. Ma plante est arrosée minimum 2 fois par semaine (pour le week-end, j'ai l'impression qu'elle est sauvée de la déshydratation par ma colloc) et elle survit. Je ne suis pas certaine que le chlore soit tout indiqué, mais je suis sur que c'est beaucoup mieux que pas d'eau du tout.
Donc je peux maintenant vous montrer le fruit de mon investissement (je reconnais que c'est un investissement collectifs car sans la pluie, la colloc et la piscine 2 fois par semaines, elle ne s'en serait jamais sortie).

Admirer la sous le soleil


et la c'est quelques jours plus tard, la nuit.
Comme on peut le voir sur la photo, ce n'est pas n'importe quel plante mais un trèfle à 4 feuilles. La plante de la chance, le premier qui dit qu'elle porte pas chance... a tort, parce que sans une bonne dose de pot, elle ne serait plus la.
Donc voila, ma première plante vivante, je la dois à ma petite soeur (pour ne pas avoir desesperée de moi, m'avoir offert une plante et l'avoir bien choisie) à qui je fais évidement un gros bisous de remerciement, à ma colloc (pour avoir maintenue la plante en vie pendant qu'elle se décidait à germer) et à la natation (parce que sans le maillot de bain, j'aurai fini par totalement l'oublier).

samedi 16 février 2008

expatriée au pays des devoirs

vendredi soir, 2h00 du mat.
Au cours de mon premier semestre j'aurais été bien occupée à faire la fête, a apprendre encore et toujours les pas de salsas qui je semble condamnée a oublier aussi sec, a boire de la tequila et autres mélanges plus ou moins alcoolisés. En tout cas, c'est sur, je n'aurais pas été la.
La, ça represente devant mon ordi. Ca represente une journée et une soirée et une partie de ma nuit passé devant ce satané PC. J'en ai marre, and it's an understatement.
Donc voila, au lieu de festoyer, l'étudiante travaille. Donc plus grand chose à raconter. Pas de shopping, pas de sortie, pas de découverte. Un univers limité au strict PC et à la bibliotheque de l'université. De quoi rendre folle (chèvre, dingue,....) toute étudiante normalement constitué.
Mais la je crie victoire. Car bien que demain ce soit rendez-vous 10h devant la bibliothèque pour bosser (encore et toujours, c'est comme avec les gaulois mais en moins drole). Pour ce soir, c'est fini!!!! J'ai envoyé mon examen au prof et mon lit m'appelle. Autre bon point qui va éclairer ma journée: je ne travaillerai pas demain après-midi. Et ça, c'est presque un miracle en soi, alors on rigole pas.
Sinon, sur une autre note: les mexicains sont encores plus dingues de foot que les francais, donc comme le mercredi soir, il y avait une retransmission (super importante, en live, a ne manquer sous aucun pretexte meme si ca se trouve c'est un match amical...), mon cours de sécurité des ordinateurs c'est finis 2h plus tot que prévus. Ba oui, il fallait laisser le temps à tout le monde de rentrer chez soi et de se planter devant le petit écran. Et le prof est le premier à clamer l'importance du foot. Au point qu'il a lever l'interdiction de portable pendant les cours si c'est pour recevoir les derniers resultats du foot en direct. Le pire c'est que c'est pas une blague.
Sur ce, bonne nuit, bonne sortie, bonne cuite. L'étudiante a l'impression d'être repartie à la case prépa des fois.

vendredi 8 février 2008

des cours, des cours et encore des devoirs

Début de semestre difficile, ou plutot très studieux. C'est un vrai problème, les profs essayent de nous faire travailler.
Evidement, en tant qu'étudiante il semblerait normal que j'ai a apprendre des cours et faire des devoirs mais le semestre précédent c'était très bien déroulé sans que les devoirs interviennent dans moi emploi du temps. (A part le dernier mois, ou il a fallut un peu rattraper le retard accumulé).
Mais ce semestre commence bien différament. Déja, la moitié des cours sont dans un autre master et les profs de ce master trouve normal de donner des devoirs de semaines en semaines. :(
Mais le pire, c'est que les profs des cours de mon master principal (donc les profs que j'ai déja eu au semestre précédent), on commencé eux aussi à nous donner du travail. A croire qu'ils se sont passés le mot: maintenant que notre étudiante étrangère comprend à peu près ce qu'on lui dit, on va enfin pouvoir lui refiler du boulot. En tout cas, quelques soit la raison, ils n'hesitent pas à charger la bete.
Je me retrouve donc à travailler, activité barbare par excellence, et totalement indigne de tout étudiant qui se respecte. Le pire étant que mes amis (qui ne suivent les cours que d'un seul masters) glandent pendant que je bosse.
La vie des étudiantes en échange est vraiment trop dur. :p
Bon à part ça, je viens d'aller voir un spectacle absolument magnifique: "Quidam" du Cirque du Soleil. C'est vraiment un spectacle extraordinaire dont la qualité d'exécution est irréprochable.
Je ne crois pas que ma description puisse rendre justice à l'oeuvre mais la voila.
Commençons par les clowns. J'ai un apriori énorme sur les clowns et les numéros comiques en général: ils ne font pas rire, le clown me fait plutot pitié et leurs blagues sont à pleurer.
Les clowns de quidam ne parlent pas, c'est déja un bon point. Mais en plus, ce sont des mimes hors pairs, qui incluent le publique dans leur numéro d'une façon qui est drole et sans moquerie pour l'acteur involontaire. Ils arrivent avec leur mimique et leur acrobatie à construire une véritable histoire, les bruitages sont fait en directs par un orchestre très habile que le clown inclue aussi dans ses histoires et ils ne sont pas recouverts du maquillage traditionnel (plutot glauque il faut l'admettre).
En plus tout le spectacle se déroule sur deux scenes: la scene ronde principale et l'arriere plan. Les deux scènes étant toujours occupées par des numéros différents. Il y a donc une profusion de choses à voirs, de pitreries, d'acrobatie et de numéros pour captiver l'esprit. Si votre regard quitte une seconde le devant de la scène avec le numéro principal, il est immédiatement capté par l'arrière de la scène ou se déroule une autre action plus simple.
Les numéros s'enchainent de manière très fluide, avec un thème récurrent qui lit tout nos numéros et il n'y a jamais de temps mort dans le spectacle. Comme je ne vais pas décrire les numéros, je peux juste dire qu'ils m'ont coupé le souffle plus d'une fois, et que je me suis vraiment laissé emporter par la magie du cirque. Le seul bémol à cette performance hors pairs: le prix d'entrée. Mais les souvenirs engrangés eux, n'ont pas de prix.

mardi 29 janvier 2008

le beau temps est revenu

Aujourd'hui grande nouvelle: 31°C
le soleil est revenu, je ne sais pas encore pour combien de temps mais apres 3 semaines horrible, je retrouve enfin le mexique, le vrai, celui pour lequel j'ai quitté ma France. Celui ou je me balade tranquille en débardeur et en tong. Parce que la ça faisait 3 semaines que j'avais sortie tout le fatras: manteau, pull, chaussettes (ba oui, dans les tongs je n'en avais pas vraiment besoin), et autres machins à manches longues. J'avais meme sorti mes echarpes. Il faisait un froid de canard (5°C et pour ici c'est tres froid, surtout dans la maison sans chauffage), avec un crachin parisien et un ciel gris plombé (juste ma météo préférée quoi).
Donc aujourd'hui, je suis de nouveau entrain de profiter du mexique, c'est à dire, assise dehors, à l'ombre parce que le soleil tape dur, entrain de prendre un bain de chaleur. C'est le farniente ou presque parce que j'ai une montagne de boulot, mais c'est pas grave, l'ordi me tient compagnie et j'avance tout doucement dans ma pile de devoir.

lundi 21 janvier 2008

je suis toujours en vie

Le blog n'avance pas, ma boite d'email deborde encore une fois que j'ai vidé les spams et j'ai pas donnés signe de vie depuis une éternité (même à mes parents, désolé pour ça). Mais je suis toujours en vie!
C'est que c'est le début de l'année. Une période pour le moins occupées.
Des nouveaux collocs, qui ont l'air très sympas même si honnêtement je ne suis jamais chez moi donc je ne les connais pas aussi bien que je le devrais, des nouveaux cours et le retour des amis.
Le fait que je ne sois jamais chez moi est evidement du au retour des amis. Comme les élèves du Master viennent de tout le pays, ils rentrent chez eux une à deux fois par an, notamment pour les fêtes de Noel. Donc evidement, au bout d'un mois et demi sans les voir, quand on se revoit enfin, on fait la fête. Un peu, beaucoup, à la mexicaine quoi. Les colombiennes ont eu la bonne idée de ramener quelques bouteilles de leurs pays. Elles ont été descendues en une soirée, alors maintenant faut se rabattre sur la biere (et la tequila, mais ça coute cher :p).
Cela explique aussi en partie pourquoi je ne connais malheureusement pas aussi bien mes collocs que je ne le devrais.
En plus, une des mes ex-collocs est repassés par Monterrey avant de rentrer chez elle et m'a emmené voir de la Lucha Libre.
Spectacle fascinant.
Je dois avouer que de primes abords j'avais quelques préjudices. Je ne suis pas une fan de tout ce qui est sport à la : "je te tape dessus, tu me tapes dessus, celui qui tape le plus fort sur l'autre gagne". Donc j'y suis allé en pensant que c'etait une experience à vivre mais que probablemenbt je serais écoeuré par l'idiotie humaine avant la moitié du spectacle.
Ce que je ne savais pas, c'est que la Lucha Libre, c'est "pour de faux". Ca se tape dessus à grand renfort d'insultes, de cris et de grognements. Ca tombe de tout les cotés, ça cogne, ca derape ça gifle et tout un tas d'autre cascades. Ca renverse des chaises, ça pousse des gens, ça utilise tout et n'importe quoi pour se taper dessus (les gobelets des spectateurs, MON sac, le sac d'une autre dame), ça casse les chaises sur lequel nous etions assis. C'est bruyant, c'est colorés, c'est excitant et finalement c'est très drole car c'est pour de faux. Après tout ce tintamarre, nos lutteurs en ressortent avec certes la peaux rouges à cause des claques mais pas un bleu, pas une egratignure, et le seul qui c'est fait mal, je crois qu'il s'est foulé la cheville quand il a sauté hors du ring.
Donc voila, la conclusion c'est que j'aime bien la Lucha Libre, parce que ça me donne vraiment l'impression de voir des gamins (bon, 1m90 et min 100 kg, mais c'est du beau bébé quoi). C'est comme les enfants qui jouent pour de faux à se battre (tant que ça ne denegere pas c'est assez drole). Donc les mexicains sont de grands enfants.
Par contre, en rentrant dans l'arene, il faut ouvrir son sac et meme les bouteilles d'eau en plastique ne passent pas(seulement les gobelets en plastique de l'arene). En meme temps, vu qu'ils ont utilisé MON sac pour se taper dessus, si la bouteille d'eau etait restée dedans ils auraient pu se blesser.
La seule partie que je n'ai pas aimé c'est la fin du spectacle. Parce que la, j'ai vraiment crus que c'etait comme avec les enfants, que ça avaient finis par degener et qu'ils se faisaient mal. En meme temps, ils venaient de détruire mon bancs en balançant un lutteur dessus, ils se tapaient dessus avec des chaises en ferrailles et une grande plaque en fer, et deux avaient du sang sur le front. Ils avaient réussi à faire se déplacer la moitié des spectateurs et ils se bourraient de coup de pied en insultant l'arbitres (dailleurs, il faut bien l'admettren l'espagnol est une langue absolument génial pour insulter, beaucoup plus de variété qu'en français). Moi j'etais dans tout mes états, mais j'ai appris après que c'etait un coup classique. Se battre avec l'arbitre permet de focaliser l'attention du public sur autre chose, et après ils peuvent faire éclater des petites capsules de sang pour faire genre qu'ils sont très blessés. il y a aussi une autre technique, qui est de se faire une toute petite entailles pour faire couler plein de sang (c'est pas dangereux et ça fait de l'effet -ça pouver le croire). Moi j'y connaissais rien et je croyais que c'etait un sport de brute épaisse. En fait c'etait tres distrayant et il y avait plein d'enfants dans la salle. Dailleurs entre les differentes luttes, les enfants montaient sur le ring et plusieurs fois j'ai vue des lutteurs leur ebouriffer les cheveux et les pousser gentillement hors du ring.
Donc voila, c'est definitivement une experience que je recommande.

dimanche 6 janvier 2008

Ville de Oaxaca

Mercredi:
Arrivées à Oaxaca à 6h30, j'ai pas dormi dans le bus, j'ai une tête de déterré et il faut absolument que j'envoie un mail à maman pour son anniversaire. Les cafés internet n'étant pas ouvert avant 9h00, je patiente en buvant un café. En France, il m'est absolument impossible de boire une petite tasse de café, ici, j'en descend l'equivalent d'une bouteille de coke d'un coup. Il doit pas être aussi fort qu'en France, j'ai toujours autant envie de dormir. :p
Après un passage au café internet puis à l'auberge de jeunesse, nous allons visiter Oaxaca. C'est une ville charmante, plus touristique tu meurs mais avec de belles maisons coloniales. Nous parcourons les ruelles, en jetant un coup d'oeil dans les musées et eglises qui bordent notre route.
L'heure de la sieste arrive bien vite et nous rentrons épuisés à notre auberge de jeunesse. Comme on a un marché tout proche, nous achetons des fruits, quelques légumes et nous nous faisons un repas mexicain. L'auberge de jeunesse à Oaxaca etait assez cher mais heureusement toute la nourriture etait très bon marché. J'ai aussi gouté au fameux, Queso Oaxaca. Il n'est pas fameux pour rien même si pour la française que je suis il a une saveur très douce.
Tout mon marché m'a couté 15 pesos, c'est cela de plus en souvenir divers et variés . :)
L'après midi, sieste au programme. Après le trajet en bus et la dur journée d'hier à Mexico, c'est un peu le repos des guerrieres.

jeudi:
Petit déjeuner excellent, préparé par l'auberge de jeunesse. Ca vaut la peine d'être noté, car normalement c'est stop à l'Oxxo et brioche étouffe chrétien et yaourgt à boire. Aujourd'hui au contraire, c'est omelette+ fruit + café+ tartine+ encore plein de bonnes choses!
Hier nous avions reservé des places pour au tour en autobus des alentours de Oaxaca.
Le tour commence par le Tule, arbre énorme (il faut plus de 5 personnes pour en faire le tour je crois) et curiosité de la région. J'essaye de prendre des photos, et la misere, j'ai oublié la carte mémoire à l'hotel. Heureusement, les boutiques pour touristes ne vendent pas seulement des sombreros et autres souvenirs en bois locaux (en tout cas, locaux à tout le mexique), mais aussi des cartes mémoires SD 1Go, juste ce dont j'avais besoin. Le prix fait frémir mais mon envie de photo est plus forte.
Deuxième stop, teotitlan, on admire les tisserants à l'oeuvre sur des métiers à tisser 100% traditionnaux. Vu la gueule du métier, je veux bien le croire. C'est un métier à pédales, avec une navettes qu'il faut passer à la main. L'homme nous montre comment on l'actionne, nous fait admirer le dessin qu'il va tisser, et nous fait une démonstration du cardage et du filage de la laine. Il nous montre aussi les pigments mineraux, végétaux et animaux qu'il utilises pour obtenir les teintes de ses laines. Les pièces en ventes sont superbes, mais hélas, beaucoup, beaucoup trop chère. C'est vraiment un endroit pour touristes, avec des prix pour touristes. :)
Notre troisième arrêt est mitla. C'est un site à la croisée des influences Zapotec, Aztec et Miztec, ce qui au final fait beaucoup de monde. Ce sont de droles de ruines (un palais déja et non un temple comme il est plus commun d'en trouver)avec des sculptures très originales dans les murs: ce sont des especes de mosaic faites à l'aide de pierre de differentes profondeur, au lieu de differentes teintes. Dur à expliquer mais un régal pour les yeux. Le marché artisanal est à coté est superbe, bien achalandé, et peu cher. La aussi, un régal pour nous.
Après les ruines, les cascades pétrifiées. Nous avons marché un moment, le ciel est couvert et l'eau est froide. Mais l'étudiante n'est pas allé à l'autre bout du monde, pour reculer à la dernière épreuve. J'entre dans l'eau courageusement, le bon coté de l'eau vraiment froide, c'est qu'elle anesthesie vraiment rapidement. Au bout de 5 minutes, je ne sent plus le froid, ni mes orteils dailleurs. C'est pas grave, le soleil pointe le bout de son nez.
Bientot il faut repartir, le bus nous arretent devant un restaurant, l'invitation est claire, mais la pas de chance, car les étudiantes en vadrouillent on tout prevue et on emmené leur casse croute. Nous mangeons sur la place et nous visitons le village en profitant des derniers rayons de soleil.
La derniere visite de la journée, la fabrique de mezcal. Ca c'est vraiment interressant. Les tapis j'aimais bien, mais tout le processus je l'avais déja vue, la c'est du tout nouveau. Donc ça commence par un cactus. Un des gros avec des feuilles pointues qui partent du centre. Donc ils découpent toutes les feuilles pour ne laisser que le centre, le coeur est cuit sous la cendre, puis broyé par un moulin à ânes. Le tout dans des conditions d'hygienes interressantes. En meme temps, l'alcool, ça desinfecte c'est bien connue. ;) Ensuite les coeur broyés sont plongés dans des cuves avec de l'eau pour macérer, puis l'eau est recolté et distillés (façon ce qu'on fait en classe de physique au lycée, ni plus ni moins). Le feu sous les marmittes à distiller est alimenté par les coeurs et les feuilles du cactus, comme ça, rien ne se perd. Après l'explication, la dégustation. Le mezcal existe de toutes les couleurs et de tous les parfums. Une nette préference pour le mélange creme et café qui me rappelle le baileys. Nous rentrons à l'hotel, fatigué mais heureuse de notre journée.

Ville de Mexico (suite et fin)

Mardi:
Notre dernier jour à Mexico. Il faut donc en profiter à fond. Notre programme est chargé mais nous commencons la journée tard, il nous a fallu refaire tout les sacs et tout ré-organiser.
Première visite le musée antropologique de Mexico. C'est le plus important musée antropologique du Mexique et il est absolument superbe. Les collections sont magnifiques et beaucoup trop fournies pour pouvoir être visitée en 1 jour. Nous ne verrons que le rez de chaussée qui traite des civilizations pré-colombiennes. Chaque salle traite d'un peuple et nous avons vu des oeuvres superbes. Malheureusement, à la fin de la visite, ça commence à se mélanger un peu dans notre tête.
Après ça, direction le castillo de Chapultepec, le chateau n'a pas beaucoup d'interet à part pour l'escalier monumental, mais l'exposition à l'interieur à permis à Sherry d'apréhender un peu mieux le style européen.
Comme nous faisons tout ça a pied, nous marchons et marchons et marchons encore, et ce n'est pas finis.
Nous avions décidé d'aller voir la Casa Azul, la maison de Frida Kahlo et Diego Rivera. Nous l'avons donc visité en coup de vent à cause de l'heure tardive et de notre fatigue. Le problème avec faire trois musée dans la journée c'est que c'est trop pour vraiment prendre le temps de les savourer, mais c'etait notre seul opportunité de tout voir, alors aucun regret. :)
Nous etions crevé mais la nuit à été longue, le bus partant à minuit (on tombait de sommeil dans la gara) et nous déposant à 6h30 à Oaxaca. Moi et le bus ont s'entend tres bien, sauf sur la question du dodo. Donc le voyage de nuit c'est un tantinet tuant.