vendredi 8 février 2008

des cours, des cours et encore des devoirs

Début de semestre difficile, ou plutot très studieux. C'est un vrai problème, les profs essayent de nous faire travailler.
Evidement, en tant qu'étudiante il semblerait normal que j'ai a apprendre des cours et faire des devoirs mais le semestre précédent c'était très bien déroulé sans que les devoirs interviennent dans moi emploi du temps. (A part le dernier mois, ou il a fallut un peu rattraper le retard accumulé).
Mais ce semestre commence bien différament. Déja, la moitié des cours sont dans un autre master et les profs de ce master trouve normal de donner des devoirs de semaines en semaines. :(
Mais le pire, c'est que les profs des cours de mon master principal (donc les profs que j'ai déja eu au semestre précédent), on commencé eux aussi à nous donner du travail. A croire qu'ils se sont passés le mot: maintenant que notre étudiante étrangère comprend à peu près ce qu'on lui dit, on va enfin pouvoir lui refiler du boulot. En tout cas, quelques soit la raison, ils n'hesitent pas à charger la bete.
Je me retrouve donc à travailler, activité barbare par excellence, et totalement indigne de tout étudiant qui se respecte. Le pire étant que mes amis (qui ne suivent les cours que d'un seul masters) glandent pendant que je bosse.
La vie des étudiantes en échange est vraiment trop dur. :p
Bon à part ça, je viens d'aller voir un spectacle absolument magnifique: "Quidam" du Cirque du Soleil. C'est vraiment un spectacle extraordinaire dont la qualité d'exécution est irréprochable.
Je ne crois pas que ma description puisse rendre justice à l'oeuvre mais la voila.
Commençons par les clowns. J'ai un apriori énorme sur les clowns et les numéros comiques en général: ils ne font pas rire, le clown me fait plutot pitié et leurs blagues sont à pleurer.
Les clowns de quidam ne parlent pas, c'est déja un bon point. Mais en plus, ce sont des mimes hors pairs, qui incluent le publique dans leur numéro d'une façon qui est drole et sans moquerie pour l'acteur involontaire. Ils arrivent avec leur mimique et leur acrobatie à construire une véritable histoire, les bruitages sont fait en directs par un orchestre très habile que le clown inclue aussi dans ses histoires et ils ne sont pas recouverts du maquillage traditionnel (plutot glauque il faut l'admettre).
En plus tout le spectacle se déroule sur deux scenes: la scene ronde principale et l'arriere plan. Les deux scènes étant toujours occupées par des numéros différents. Il y a donc une profusion de choses à voirs, de pitreries, d'acrobatie et de numéros pour captiver l'esprit. Si votre regard quitte une seconde le devant de la scène avec le numéro principal, il est immédiatement capté par l'arrière de la scène ou se déroule une autre action plus simple.
Les numéros s'enchainent de manière très fluide, avec un thème récurrent qui lit tout nos numéros et il n'y a jamais de temps mort dans le spectacle. Comme je ne vais pas décrire les numéros, je peux juste dire qu'ils m'ont coupé le souffle plus d'une fois, et que je me suis vraiment laissé emporter par la magie du cirque. Le seul bémol à cette performance hors pairs: le prix d'entrée. Mais les souvenirs engrangés eux, n'ont pas de prix.