ok, so I'm late for the inscriptions and I'm still not working on gathering all the needed papers. It seems all I do is going out, having lots of fun, and not counting the hours I spent on my internship. Which is a bit stupid since I already know, they are not going to keep me. Yet it seems I am afflicted with a strange need to "do the job" and do it to the best of my abilities even if I am not going to get paid more or get any advantages or even thank yous.
Peut-etre que je devrais fonder ma propre entreprise en fait. Comme ça, en étant ma propre patronne je pourrais faire mon travail bien et m'octroyer des congés et des bonus quand j'aurai bien bossé. :)
Le seul problème avec cette option, c'est qu'il faut avoir une Idée, et puis il faut parler avec des gens. Il faut discuter, négocier,convaincre et persuader des investisseurs, et meme des clients.
Le client objectivement, je sais que ça existe. Je suis moi meme cliente de bien des produits.
Mais le "client" en général, c'est une espèce bizarre, régis par des lois complexe, parlant un langage bien particulier et que j'ai assez peur, il faut l'avouer, d'approcher.
Pour approcher un client, il faudrait que je me mette en situation de parler à une personne que je ne connais pas. (A part pour demander une danse, et encore ça me demande un certain temps, c'est quequelchose qui m'est assez difficile). Non seulement il faudrait que j'approche le "client", mais il faudrait que je lui fasse de la publicité. Intellectuellement, je comprend bien l'utilité d'informer le client de l'existence d'un produit si je compte le lui vendre mais mettre en pratique ce concept... Et le pire, c'est qu'après il faudrait même que j'essaie de lui faire acheter mon produit !!! Vu le stress engendré par une prise de parole devant ma classe (récemment 10 personnes que je connaissais extremement bien), je crois que c'est mal barré pour le porte à porte.
Surtout que je déteste embeter les gens, j'ai tendance à penser que si jusqu'à maintenant on a très bien vécu sans un produit, on peut encore s'en passer longtemps. Et par conséquent, le client viendra de lui-même lorsqu'il en ressentira le besoin. Je sais qu'il existe un concept se nommant "creer le besoin", mais ce sont des mots étrangers à mon univers. Et je souhaite fortement qu'ils le demeurent puisque rien que d'y penser me donne des sueurs froides.
Sardine
Que choisir au juste, pour ne pas se tromper. Comment être sure d'avoir fait les bons choix?
jeudi 20 novembre 2008
lundi 17 novembre 2008
questionnement
on fait comment pour faire tout ce qu'on doit, le reste aussi, et avoir un peu de temps pour dormir???
Autre grand questionnement: Master oui ou non? (bon daccord la réponse n'est pas sorcière c'est plutot trouver le temps de m'en occuper)
C'est pas gagné d'avance mais une chose est sure, je ne m'ennuie pas. Je crois que j'arrive à voir aussi peu ma famille que lorsque j'étais en prépas, mais bizarrement il n'y plus de surcharge de travail...Il semble que la vie de stagiaire soit encore plus remplie que celle d'étudiante.
Autre grand questionnement: Master oui ou non? (bon daccord la réponse n'est pas sorcière c'est plutot trouver le temps de m'en occuper)
C'est pas gagné d'avance mais une chose est sure, je ne m'ennuie pas. Je crois que j'arrive à voir aussi peu ma famille que lorsque j'étais en prépas, mais bizarrement il n'y plus de surcharge de travail...Il semble que la vie de stagiaire soit encore plus remplie que celle d'étudiante.
dimanche 19 octobre 2008
automne
Une grande balade, un feu de cheminé, un thé et des chataignes grillées. C'est tout le plaisir de l'automne qui tient en une ligne :) ou en une journée.
Si on rajoute les noix, le vin, le jambon cru et les champignons c'est carrèment le paradis. Mais bon, quand on fait déjà une superbe balade dans un cadre magnifique, pas loin de paris mais avec un ciel bleu, des canards dans l'étang, des feuilles multicolores et un ami avec qui discuter, je crois que c'est un beau week-end et bien la preuve que la vie nous sourit.
Samedi aussi, j'ai eu une belle journée, avec roller dans paris et patisserie libanaise (je craque, la pistache avec du miel c'est vraiment trop bon.) pour l'après midi. Et pour le soir, diner avec un ami qui nous vient du brésil.
Et moi qui n'avait rien prévu pour ce week-end, et qui pensait rester chez moi à faire des ourlets. C'est drole comme quelquefois tout semble s'animer, se mettre en oeuvre pour offrir de purs moments de bonheur. Je me baladerais une semaine encore avec des pantalons trop long mais j'aurai de belles images plein la tête. :-)
Si on rajoute les noix, le vin, le jambon cru et les champignons c'est carrèment le paradis. Mais bon, quand on fait déjà une superbe balade dans un cadre magnifique, pas loin de paris mais avec un ciel bleu, des canards dans l'étang, des feuilles multicolores et un ami avec qui discuter, je crois que c'est un beau week-end et bien la preuve que la vie nous sourit.
Samedi aussi, j'ai eu une belle journée, avec roller dans paris et patisserie libanaise (je craque, la pistache avec du miel c'est vraiment trop bon.) pour l'après midi. Et pour le soir, diner avec un ami qui nous vient du brésil.
Et moi qui n'avait rien prévu pour ce week-end, et qui pensait rester chez moi à faire des ourlets. C'est drole comme quelquefois tout semble s'animer, se mettre en oeuvre pour offrir de purs moments de bonheur. Je me baladerais une semaine encore avec des pantalons trop long mais j'aurai de belles images plein la tête. :-)
lundi 29 septembre 2008
sensation bizarre
Pour la première fois hier soir, j'ai vue ma mère proche de la panique. Elle, toujours si calme dans les situations de crises, a commencé à échafauder des scénarios catastrophes. D'habitude, si crise il y a, c'est toujours moi qui panique, qui me fait des films et qui imagine les scénarios les plus extrêmes. Si ça touche ma famille, je me laisse emporter encore plus facilement. Dans ces cas là, c'est en général ma mère qui me rassure, qui me dit de ne pas paniquer et qui trouve des solutions pratiques et pleine de bon sens.
Mais hier soir, en voyant grand-mère dans un tel état, maman s'est mis à son tour à ce faire des films et à imaginer des catastrophes. Comme si elle ne voyait plus la réalité mais seulement ce qu'elle imaginait être la réalité. Je me dis que lorsque je fait pareil bien souvent, ça doit être agaçant pour mon entourage. Mais le problème, c'est surtout de desenclencher la crise. Il est difficile de rassurer.
J'ai fait de mon mieux, l'amélioration manifeste de l'état de grand-mère fera le reste, en tout cas je l'espère.
Mais hier soir, en voyant grand-mère dans un tel état, maman s'est mis à son tour à ce faire des films et à imaginer des catastrophes. Comme si elle ne voyait plus la réalité mais seulement ce qu'elle imaginait être la réalité. Je me dis que lorsque je fait pareil bien souvent, ça doit être agaçant pour mon entourage. Mais le problème, c'est surtout de desenclencher la crise. Il est difficile de rassurer.
J'ai fait de mon mieux, l'amélioration manifeste de l'état de grand-mère fera le reste, en tout cas je l'espère.
mercredi 3 septembre 2008
rentrée
rentrée des classes ou de bureau.
Une grande première cette année avec cette rentrée dans une grosse boite. Une atmosphère particulière que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais même imaginée.
J'ai pourtant déjà travaillé mais seulement dans des PMEs, de toutes petites PMEs. Il y avait le boss, ses desideratas et tout le monde qui s'engueule et se serre les coudes pour faire le boulot. Tu as ton boulot, mais si le collègue a besoin d'un coup de main, tu aide aussi. Là, tout le monde a son boulot et ses réunions. Je n'ai toujours pas fait de Réunion alors je ne saurais pas dire ce qu'on y fait mais ça occupe beaucoup de monde pendant la journée. Sinon, chacun est devant son poste, je ne sais d'ailleurs pas franchement à quoi mes collègues occupent leur journées. Ils sont (enfin au moins l'un d'eux) "project manager". Dans mes PMEs, il n'y avait pas de "project", et encore moins de "project manager". Juste un chef, avec un objectif facilement compréhensible et des urgences.
Là, il y a le secret, il ne faut pas dire sur quoi tu travailles, enfin pas exactement mais un peu quand même puisque les personnes autour de toi sont quand même dans la même entreprise. Tout un exercice de discrétion et de diplomatie auquel j'ai du mal à me faire. Il faut faire attention à la sécurité, verrouiller son écran d'ordinateur, fermer son bureau, avoir son badge.
En même temps, ce ne sont que des premières impression, et après 2 jours, je ne peux vraiment décrire une entreprise.
Juste une constatation: je voulais travailler dans une grande structure car je pensais qu'ils seraient mieux organisés que dans une petite (dans toute celle ou je suis allée c'était loin d'être une organisation très carré). Je pense que je me suis trompée. Les grandes structures semblent créer des possibilités de désorganisation encore plus vastes que les petites.
Une grande première cette année avec cette rentrée dans une grosse boite. Une atmosphère particulière que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais même imaginée.
J'ai pourtant déjà travaillé mais seulement dans des PMEs, de toutes petites PMEs. Il y avait le boss, ses desideratas et tout le monde qui s'engueule et se serre les coudes pour faire le boulot. Tu as ton boulot, mais si le collègue a besoin d'un coup de main, tu aide aussi. Là, tout le monde a son boulot et ses réunions. Je n'ai toujours pas fait de Réunion alors je ne saurais pas dire ce qu'on y fait mais ça occupe beaucoup de monde pendant la journée. Sinon, chacun est devant son poste, je ne sais d'ailleurs pas franchement à quoi mes collègues occupent leur journées. Ils sont (enfin au moins l'un d'eux) "project manager". Dans mes PMEs, il n'y avait pas de "project", et encore moins de "project manager". Juste un chef, avec un objectif facilement compréhensible et des urgences.
Là, il y a le secret, il ne faut pas dire sur quoi tu travailles, enfin pas exactement mais un peu quand même puisque les personnes autour de toi sont quand même dans la même entreprise. Tout un exercice de discrétion et de diplomatie auquel j'ai du mal à me faire. Il faut faire attention à la sécurité, verrouiller son écran d'ordinateur, fermer son bureau, avoir son badge.
En même temps, ce ne sont que des premières impression, et après 2 jours, je ne peux vraiment décrire une entreprise.
Juste une constatation: je voulais travailler dans une grande structure car je pensais qu'ils seraient mieux organisés que dans une petite (dans toute celle ou je suis allée c'était loin d'être une organisation très carré). Je pense que je me suis trompée. Les grandes structures semblent créer des possibilités de désorganisation encore plus vastes que les petites.
vendredi 18 juillet 2008
un pas
je m'approche de plus en plus de la date fatidique. J'ai fini les cours, je vais commencer le stage et bientôt, très-voir trop- bientôt, je ne serais plus étudiante. Je serais un membre autonome du monde des adultes, un contribuable qui paye ses impôts, fait ses déclarations et envoie ses papiers. Parce que tout le reste des trucs bien pour adultes, je le fais déjà. :p
Le problème c'est que je n'ai pas très envie de devenir "une grande", ou alors pas tout de suite.
La vie active c'est sympas mais ça manque de temps. C'est l'inverse quand c'est étudiant, le temps on l'a mais pas l'argent. Je voudrais les deux.
Je voudrais voyager, faire les steppes de Mongolie à cheval, découvrir l'Inde et la Chine, retourner au Mexique et partir vivre à l'étranger. Je reviens tout juste, mais la n'est pas le problème. Le problème c'est que la Mongolie ça prend 1 mois, l'Inde pareil, la Chine aussi, le Mexique itou. Ca fait beaucoup de temps, pour l'expat, on en parle même pas (mais là au moins, si je me débrouille je pourrais travailler).
Et ce n'est pas la fin de mes ambitions. je veux aussi avoir une vie familiale, et une vie professionelle épanouissante et un cheval. Ca fait beaucoup pour une seule femme. Et puis pour corser encore la balance, je voudrais une chambre seulement à moi avec des rangements et même une étagère pas encore pleine. On est fin juillet et la liste pour le père noel est déjà d'une longueur impressionante ;).
Le problème c'est que je n'ai pas très envie de devenir "une grande", ou alors pas tout de suite.
La vie active c'est sympas mais ça manque de temps. C'est l'inverse quand c'est étudiant, le temps on l'a mais pas l'argent. Je voudrais les deux.
Je voudrais voyager, faire les steppes de Mongolie à cheval, découvrir l'Inde et la Chine, retourner au Mexique et partir vivre à l'étranger. Je reviens tout juste, mais la n'est pas le problème. Le problème c'est que la Mongolie ça prend 1 mois, l'Inde pareil, la Chine aussi, le Mexique itou. Ca fait beaucoup de temps, pour l'expat, on en parle même pas (mais là au moins, si je me débrouille je pourrais travailler).
Et ce n'est pas la fin de mes ambitions. je veux aussi avoir une vie familiale, et une vie professionelle épanouissante et un cheval. Ca fait beaucoup pour une seule femme. Et puis pour corser encore la balance, je voudrais une chambre seulement à moi avec des rangements et même une étagère pas encore pleine. On est fin juillet et la liste pour le père noel est déjà d'une longueur impressionante ;).
jeudi 17 juillet 2008
fin de l'aventure mexicaine
Voila, rentrée en France depuis un mois, l'aventure est terminée. Après un an passé dans un pays fabuleux, je me réhabitue petit à petit à la France et à mon chez-moi. De nouvelles obligations sont arrivés, je ne suis plus dans la bulle expat, c'est le retour à la réalité. Je me sens tout à coup alourdie par la réalité, par le regard de mes proches, par les attentes de la société. C'est aussi pour ça que j'aime l'expat, lorsqu'on découvre un autre pays, on est étranger. En tant qu'étranger, nous ne sommes donc pas jugés sur les mêmes critères, nous sommes plus libres et puis il y a l'aventure.
Mais le retour c'est aussi revoir sa famille, ses parents, ses amis... Après un an, j'en avais besoin.
L'étudiante ne va plus s'essayer à la vie mexicaine, elle a un nouveau défi à relever: la fin de sa scolarité et l'entrée dans la vie active. Si la vie est un éléphant, alors c'est le prochain bout d'éléphant à avaler.
Mais le retour c'est aussi revoir sa famille, ses parents, ses amis... Après un an, j'en avais besoin.
L'étudiante ne va plus s'essayer à la vie mexicaine, elle a un nouveau défi à relever: la fin de sa scolarité et l'entrée dans la vie active. Si la vie est un éléphant, alors c'est le prochain bout d'éléphant à avaler.
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